Marius, ce părere ai?
"J'ai le plaisir de vous présenter le nouvel album d'Astérix à paraitre, dont je suis le co-dessinateur, avec Didier Conrad.
Petite explication. Cela commence par de tristes nouvelles. Alors même que nous déplorions le décès d'Uderzo la semaine dernière, peu de temps auparavant, Didier Conrad, le nouveau dessinateur d'Astérix contractait le covid-19. Il est actuellement hospitalisé, son état s'arrange un peu, mais lentement et il risque d'être en convalescence pendant plusieurs mois. L'une des conséquences de ce drame, c'est qu'il se voit dans l'incapacité de terminer le nouvel Astérix, prévu pour le mois d'octobre de cette année ! L'éditeur s'est alors mis en quête d'un nouveau dessinateur qui puisse terminer à temps le dernier tiers de l'album pour le publier dans les délais. Appréciant mon style, il m'a fait l'immense honneur de me confier le projet. Grand amateur de cette BD culte, j'ai tout de suite accepté ! Pour bien débuter ma "mission", la couverture provisoire ci-dessous est de ma facture.
Cet album se passe chez les Daces, un peuple antique qui vivait sur un territoire qui correspond à peu près à celui de l'actuelle Roumanie.
L'histoire :
150 ans avant les guerres daciques et la conquête historique des Daces par l'empereur romain Trajan*, Jules César se met en marche pour conquérir la Dacie. C'est sans compter sur nos irréductibles Gaulois, qui vont porter secours au peuple Dace pour que cette conquête anachronique ne voie jamais le jour.
*Le nom même du pays actuel, la Roumanie, vient de cette conquête. "Roumanie" (România) signifiant étymologiquement "le pays des Romains" (avant de devenir celui des Roumains).
Outre nos amis Gaulois, nous y rencontrerons des Daces haut-en-couleur :
- Chouromanescou (le chef, au fond, au centre du dessin)
- Séniordézanou (le grand prêtre, au fond à droite)
- Dracoléalajou (le vil, l'infâme traitre qui pactise avec les Romains... au 1er plan)
- Dramaturgionescou (le barde)
- Julilescou, Toatécascou et Lavictoaréanou (de valeureux guerriers)
- Draguépamanana (la femme du chef)
- Judanana, Nosdecana et Nirvana (trois amies inséparables, futées et malicieuses).
PS. si, si, les bonnets des Daces ressemblent VRAIMENT à ceux des Schtroumpfs ! Je vous invite à vérifier en tapant "daces" (ou "dacii") sur le moteur de recherche, pour constater par vous mêmes (il faut toujours vérifier les sources)."
Robin Guinin
Né en 1987 en Seine-Saint-Denis, Robin Guinin s'installe dès l'âge de
sept ans en Seine et Marne près de Melun. Département où il vit encore à
ce jour, après un bref passage à Angoulême, pour ses études
artistiques.
Très tôt, il s'intéresse aux activités créatives. Fasciné par les talents de céramiste de sa grand-mère, il s'inscrira à un atelier de céramique de l'âge de sept à treize ans. Remarqué pour son gout du dessin, il nourrit rapidement le rêve de faire d'une passion une profession. Après une scolarité qui l'éloigne un temps de sa vocation, il retourne vite sur la voie du dessin, en écoles d'art puis de manière indépendante où il peaufine son style et enrichit son univers personnel.
Cherchant à donner sens à son travail, il s'engage pour des causes qui lui son chères (écologie, justice sociale...), en menant des partenariats avec des associations telles que Mr Mondialisation, Planète Amazone, Espéranto France...
Dans le milieu de l'édition, il a mis en couleurs deux romans graphiques de son frère Blaise (En attendant que le vent tourne, chez Casterman et Georges et la Mort, chez Glénat) et illustré la bande-dessinée En direct d'Alzheimer de G. Grard et J.J. Thibaud, chez Grrr...Art.
A Édition du bout de la rue, il illustre la couverture de 1945, Mémoires d'Enfants d'Isabelle Haury, puis le roman jeunesse Kyym, La fête du soleil de Jean-Michel Chevry.
Très tôt, il s'intéresse aux activités créatives. Fasciné par les talents de céramiste de sa grand-mère, il s'inscrira à un atelier de céramique de l'âge de sept à treize ans. Remarqué pour son gout du dessin, il nourrit rapidement le rêve de faire d'une passion une profession. Après une scolarité qui l'éloigne un temps de sa vocation, il retourne vite sur la voie du dessin, en écoles d'art puis de manière indépendante où il peaufine son style et enrichit son univers personnel.
Cherchant à donner sens à son travail, il s'engage pour des causes qui lui son chères (écologie, justice sociale...), en menant des partenariats avec des associations telles que Mr Mondialisation, Planète Amazone, Espéranto France...
Dans le milieu de l'édition, il a mis en couleurs deux romans graphiques de son frère Blaise (En attendant que le vent tourne, chez Casterman et Georges et la Mort, chez Glénat) et illustré la bande-dessinée En direct d'Alzheimer de G. Grard et J.J. Thibaud, chez Grrr...Art.
A Édition du bout de la rue, il illustre la couverture de 1945, Mémoires d'Enfants d'Isabelle Haury, puis le roman jeunesse Kyym, La fête du soleil de Jean-Michel Chevry.
2 comentarii:
:) Dacă e adevărat, m-am stropit cu apă pe față, mi-am șters bine ochelarii și m-am ținut mai temeinic de mânerele scaunului. Nu știu încă cât de larg să-mi fie zâmbetul. :) Au o răspundere mare, trebuie să se informeze bine, să facă rost de umor de calitate, zeamă bogată in imaginație și desen apetisant. E necesar să le placă mult subiectul.
Nu știu de ce au așteptat atâta până au trecut Danubiul.
Nouă între timp ne curge saliva (fără viruși) din gură de nerabdare
Să sperăm că mr. Conard se va repara curând.
Asta reclamă pentru România, dacă va primi aplauze.
Vom vedea.
Ar fi culmea ca tocmai acum, după ce au depăsit atâtea dificultăți în toate albumele, Asterix și Obelix să fie tamponați de un virus.
Ave! :)
Din păcate, a fost "Poisson d`Avril", Marius...
În orice caz, se non e verro, e ben trovato...
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