marți, 22 mai 2012

Augustin şi Dan Popescu în ziarul francez NORD ECLAIR


Dan et Augustin, frères de sang et de bulles

  Augustin et Dan Popescu ont trouvé à la Porte des mondes un lieu accueillant.

Dan et Augustin sont deux frères. Roumains et rudement doués. Ils se sont lancés depuis plusieurs années dans l'illustration et la bande dessinée. « On est venus en France et en Belgique parce que c'est là que ça se passe... », disent-ils. Depuis quatre mois, Augustin vit rue de Lille à Roubaix. Une ville qu'il trouve « euh... pas vraiment tranquille, mais il y a des gens sympas ! ». Il passe la majeure partie de ses journées dans la librairie de Cindy Queval, la Porte des mondes, quasiment en face de son petit logement.
Elle a ouvert sa boutique il y a un an, en mars 2011, et avoue être toujours en phase de démarrage, notamment avec le chantier de la rue de Lille qui a pénalisé son activité pendant six mois... Hier, elle était occupée par les derniers préparatifs du salon de la BD et des arts graphiques de Roubaix, auquel elle participe avec un stand. Gros week-end qui s'annonce pour elle puisque sa librairie sera ouverte ce samedi soir jusqu'à 23h pour la Nuit des arts.
Augustin dessine   dans l'arrière-boutique Pourquoi accueille-t-elle ces jeunes talents ? « Je suis passionnée de bande dessinée depuis plus de dix ans. Avec Augustin, on s'est vus sur le salon de la bande dessinée de Lys-lez-lannoy, le courant est bien passé. J'ai déménagé plusieurs fois, je sais ce que c'est de ne connaître personne » , dit-elle. Alors tout naturellement, elle lui a proposé de venir dessiner dans l'arrière-boutique, derrière une large baie vitrée.
Augustin dessine avec un infini soin. Il a planché sur « Les carnets secrets du Vatican ». Actuellement, il travaille sur le cinquième tome de la série « La rose et la croix », chez Soleil. Une histoire qui se déroule dans un monde mystérieux de templiers et d'alchimistes. Augustin a repris cette série, qui avait déjà deux tomes. Il a déjà dessiné les albums 3 et 4, qui se sont vendus à 15 000 exemplaires.
Quant à Dan, de passage à Roubaix, il a d'abord été journaliste dans la presse écrite en Roumanie avant de se consacrer au dessin. Il travaille sur « L'histoire de la France en bande dessinée pour les nuls », aux éditions First.
Cet art, ils l'ont appris dans leur pays d'une façon assez cocasse. « En fait, tout a commencé en lisant le magazine Pif Gadget, parce qu'il était imprimé en Roumanie, à cause des liens avec le parti communiste... », raconte Augustin. Pas facile pour autant de vivre correctement de son art quand on se consacre à la bande dessinée. Mais les deux frères bossent et s'accrochent. Ils participent à des salons. Ils exposent, ils dédicacent. Ils seront tout le week-end salle Watremez et dans la petite boutique de la rue de Lille, où ils présentent une exposition.
DELPHINE TONNERRE 







Articolul a apărut cu ocazia participării celor doi autori români la Salonul BD de la Roubaix, între 19-20 mai. Coperţile reproduse aparţin celor mai noi albume desenate de Augustin şi Dan Popescu.
Constat cu plăcere că din ce în ce mai multe articole apar în presa franceză despre adevăraţii autori  BD  români. Le voi semnala  cu promptitudine pe acest blog.
Cu această ocazie îi  provoc pe cei din menajeria "Muppets.ro" Mister Piggy şi aplaudacii săi, Statler şi Waldorf, în loc să se uite în oglindă şi să comenteze comentariile altora, să semnaleze şi ei, dacă sunt în stare, articolele elogioase din presa străină despre "compendiul de benzi desenate" The Book of George, plătit cu un miliard de lei din banii contribuabilului român, sau despre  celebra "desenatoare  BD", Sorina Vasilina, singura care a binemeritat de la patrie să fie invitată la un salon  bucureştean de BD cu pretenţii  europene (sic!). Ca şi cum Viorel Pîrligras, Marian Mirescu, Adrian Barbu, Ileana Surducan, Vali Ivan, Jup, Radu Cleţiu, Radu Marian, Călin Stoicănescu, Sorin Anghel, Valentin Tănase, Albin Stănescu, Puiu Manu  şi lista poate continua, nu au publicat niciodată benzi desenate. Incă o dată felicitări organizatorilor acestui salon european  anti-BD...
În definitiv, dacă trăiesc în ţara românească - bine mersi,  pe bani publici -  rectori de universităţi cu doctorate plagiate, de ce nu s-ar înfrupta din banii contribuabilului  şi nişte aşa zişi autori BD fără benzi desenate publicate (sau tipărite doar pe banii instituţiilor culturale)...

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